mercredi 17 décembre 2025

Adieu Tatie Marie-France

Cette année 2025 n'est définitivement pas une bonne année pour nos familles puisque nous voici de nouveau en deuil.
Cette fois, c'est Tatie Marie-France qui nous quitte et qui nous plonge à nouveau dans une grande tristesse.
Souffrante depuis quelques mois, elle était devenue méconnaissable ces dernières semaines et c'est donc une image de Tatie Marie-France telle qu'on l'a connue que nous gardons en mémoire pour toujours. 
Pour ma sœur Elodie et pour moi, tu étais notre Tatie Marie-France même si en réalité, tu étais notre grand-tante. Tu es en effet la sœur de ma Grand-Mère et donc la Tante de ma Maman. Ayons d'ailleurs une pensée pour ta sœur Claudette et ton frère François qui nous ont quitté eux également. Nous pensons aujourd'hui à Tatie Jacqueline qui doit avoir une très grande peine de te voir partir. 
Car oui, Tatie tu nous laisses dans une grande tristesse même si l'on sait qu'il est sans doute mieux que tes souffrances prennent fin.
Maman doit se souvenir de tous ces moments qu'elle a passé avec toi à Villard-Noir et ailleurs et je l'entends encore nous raconter comment tu continuais à lire alors que la lumière était coupée. Et oui, Tatie, comme tu aimais à le dire, tu étais miraud. On dit, nous, aveugle même si le terme employé est dorénavant non-voyant. Le résultat est le même. 
Tu ne voyais pas mais cela ne t'a pas empêchée de vivre. Tu as rencontré l'amour auprès de Guy dont tu nous parlais souvent. Il était parti trop vite et j'étais trop jeune pour en garder suffisamment de souvenirs. Il reste dans notre cercle familial sur les photos de l'époque où vous étiez ensemble.
Ta cécité ne t'a jamais freinée dans ta volonté de t'instruire en apprenant le braille qui te permettait de lire et en l'apprenant aux autres, ni elle ne t'a empêchée de travailler et de garder des liens avec tes anciennes et anciens collègues de bureau. Partie à la retraite, tu es restée très active dans tes associations et surtout tu aimais beaucoup voyager. Souvent, on parlait des voyages que l'on faisait car tu y étais toi-même allée dans tous ces coins de France ou de l'étranger que nous avons partagés.
Depuis quelques années, nous avions un rituel pour ton pèlerinage annuel à Lourdes. Frédéric et moi allions te récupérer à la Gare de la Part-Dieu pour venir dormir à la maison la veille de ton départ en autocar et le soir de ton retour. Nous gardons d'ailleurs en mémoire de tes séjours chez nous d'excellents souvenirs. On faisait parfois le taxi pour d'autres non-voyants. On se souvient combien tu étais contente d'être montée en métro avec nous même si on a galéré pour tes déplacements car effectivement, il y a encore du boulot pour intégrer les personnes en situation de handicap dans notre société et plus particulièrement dans les transports. Tu as beaucoup aimé lorsqu'un dimanche matin, nous sommes allés faire les courses au supermarché. Tu avais été étonnée lorsque tu as caressé pour la première fois notre tortue. Nous avions beaucoup ri au restaurant dans le Vieux-Lyon.
Avec Papa, vous rigoliez souvent des bêtises qu'il pouvait dire lorsque tu venais chez les parents avec ces moments passés avec Elodie et Maël où que nous te retrouvions tous chez toi ou à Villard-Noir. 
Tu adorais la musique et la chanson. Tu chantais souvent et plus particulièrement à l'occasion de nos anniversaires. Tu n'en manquais aucun et lorsque nous ne pouvions pas répondre à ton appel, tu laissais toujours un petit message plein d'humour. Nous en avons sans doute conservé quelques uns tellement ils étaient drôles.
Tu parlais aussi énormément, Tatie tu étais une vraie bavarde. On passait de longues heures à discuter de tout et de rien en écoutant ta voix inimitable, ton timbre de voix reconnaissable entre mille et tes expressions propres à toi que tu aimais à ponctuer dans tes phrases. Les appels réguliers que l'on entretenait pouvait parfois durer et surtout tu oubliais sans doute que lors de tes appels, j'était au travail.
Une particularité due à ton handicap, c'était que tu avais une mémoire incroyable qui nous épatait.
Pour te dépanner dans ton quotidien télévisuel, nous avions été obligés de faire une photo de ta télécommande pour t'aider à distance à naviguer sur ta télévision quand tu avais appuyé par erreur sur une touche. Tu nous appelais également et nous allions te voir aussi chez toi pour t'aider avec ton ordinateur. Car oui, tu ne reculais devant rien et tu avais décidé de rester à la pointe de la technologie pour communiquer par mail et pour aller sur Internet. Tu utilisais une reconnaissance vocale pour t'aider à t'en servir et tu te débrouillais plutôt bien. La dernière chose que tu aurais aimé tenter, c'est de monter sur la trottinette électrique de Frédéric. Sagement, tu n'as fait que la toucher pour te rendre compte de ce qu'était ce véhicule inédit pour toi.
Tu avais quitté ton grand appartement avec cette vue incroyable il y a quelques temps, pour rejoindre Tatie Jacqueline dans un appart en commun.

Tatie, il nous faut maintenant apprendre à vivre sans toi, sans tous ces petits et grands moments que nous avons passé ensemble et surtout sans tes appels téléphoniques. Ca va faire bizarre d'avoir ta photo dans mon répertoire téléphonique classée à Tatie Marie-France et de ne plus la voir apparaître. Il faut nous dire que la vie est ainsi et qu'il va falloir continuer dans cette joie qui t'animait pour profiter de chaque seconde, chaque moment, chaque émotion, chaque occasion, chaque discussion qu'il nous est permis de vivre avec tous ceux qui restent autour de nous, avec nos familles, nos amis. Il ne faut rater aucun moment et ne plus repousser à demain des visites qui ne se feraient plus. 
Bien sûr, si nous pensons à tous nos vivants,  nous n'oublions aucun de nos proches qui s'en sont allés car ils restent pour toujours dans nos têtes et surtout dans nos cœurs avec tous nos souvenirs.

💕💕💕💕💕💕

Noël en ville

 

L'émission Tribune Libre créée en 1975 sur la télévision publique est devenue Expression Directe depuis 1987 et continue encore d'être diffusée. Cette émission permet en effet à des groupes représentatifs d'utiliser les moyens de la télévision et de la radio publique pour s'exprimer librement pendant quelques minutes. C'est le Président Valéry Giscard d'Estaing (1926-2020) qui l'a imposée sous sa présidence (1974-1981) afin de permettre un dialogue direct avec les Français. Le sujet était donc déjà d'actualité. 
Mais revenons sur cette émission de Tribune Libre 
diffusée il y a 50 ans sur . La plateforme que le diffuse, , la propose de cette manière : "Ce soir, c'est Noël ! Attention les yeux (et les oreilles) : voici un conte musical enfantin, à l'animation bien kitsch, à revoir chaque fois que sonne la saison des fêtes..." Intrigués, nous ne pouvions pas louper cette pépite car le kitsch, on connait !😊. Nous nous excusons par avance auprès des personnes qui interviennent dans ce petit spectacle de Noël car nous allons nous moquer d'elles.
Effectivement, sur l'échelle du kitsch, on atteint déjà les sommets dès le générique. 
Le décor se compose en effet uniquement de dessins d'enfants venus illustrer cette histoire de Noël inventée de toute pièce. 
Que dire du conteur si ce n'est qu'il est surprenant. Surprenant car tout commence plutôt bien, si ce n'est sa coiffure mais nous vous rappelons que nous sommes en 1975 ! Il débute son histoire de manière tranquille mais plus on avance dans les minutes, plus l'histoire qui semblait être toute innocente part comme on dit ici, en cacahouètes. Le conteur s'excite soudainement de l'occupation armée israélienne en Palestine (et oui, rien ne change malheureusement en 50 ans) jusqu'à nous effrayer
mais également effrayer la petite fille qui est censée apporter un moment de pureté, de Paix. Si on analyse bien les images, dès le début on sent cette fillette se dire en elle-même : mais qu'est ce que je fais là ? Lors de l'explosion de colère du conteur, elle est limite en larmes. Les gros plans suivants la montre plutôt complètement amorphe, soit morte de fatigue d'assister à cette pseudo histoire de Noël, soit consommatrice de produits illicites comme doit en consommer le conteur.
Le groupe de chanteurs est en effet typique des Chrétiens de l'époque dont l'attitude oscille entre traditions et mouvements hippies. Attention, si vous avez décidé de regarder cette pépite télévisuelle, leur chanson La Terre chante les couleurs est susceptible de vous rester en tête longtemps.
Enfin, terminons ce billet avec le troisième membre du groupe et sa coiffure dans le vent. Notons le col roulé du sous-pull qui, en le quittant, électrisait notre chevelure. Ah, c'est peut-être ça cette coiffure 😆
Allez, soyons bons joueurs et rendons hommage à ce groupe d'hommes et de femmes qui ont eu le courage, sans doute maladroitement, de porter leur conviction face aux téléspectateurs.
Que sont-ils devenus ? :
Jo Akepsimas (1940), le barbu, connait une carrière de chanteur et compositeur de chants religieux pour enfants. 
Mannick (1944), la femme, connait une carrière de chanteuse, auteure, compositrice. Elle et Jo Akepsimas permettent un renouveau et une évolution de la musique liturgique dans notre pays.
Le Pasteur Jean-Louis Decker (1939-2016), l'homme à la mèche, a été quant à lui également chanteur, auteur et compositeur.
Nous n'avons trouvé aucune nouvelle du conteur ni de la petite fille.

mardi 16 décembre 2025

Le Petit Nicolas : qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?

 

C'est sur le canal 12  que nous avons regardé ce film d'animation franco-luxembourgeois d'Amandine Fredon et Benjamin Massoubre assistés d'Anne Goscinny (1968) qui raconte la création du Petit Nicolas personnage créé par René Goscinny (1926-1977) et Jean-Jacques Sempé (1932-2022).
Racontée par Alain Chabat (1958) et Laurent Lafitte (1973), l'histoire revient sur la rencontre entre Goscinny et Sempé et leur volonté de créer Nicolas. Il apparait d'ailleurs aux côtés des auteurs dont on apprend leur biographie. En effet, si l'on assiste à quelques histoires de Nicolas dans son univers, il interagit également dans la biographie de ses deux créateurs et plus particulièrement lors de l'annonce de la disparition de Goscinny en 1977. C'est un moment très émouvant du film. Mais l'on s'amuse également beaucoup du quotidien de Nicolas et de ses amis. 
Notons que ce film d'animation a reçu de nombreuses récompenses et il le mérite car il est très bien fait.
A regarder sans modération pour ces fêtes de Noël mais également n'importe quand dans l'année.

lundi 15 décembre 2025

借りぐらしのアリエッティ / Arrietty : le petit monde des chapardeurs

 

Ce film d'animation est sorti en France en 2011 et nous ne l'avions jamais vu jusqu'à ce que nous le propose sur son antenne. Pour cette période des fêtes, notre télévision publique propose d'ailleurs une collection, Dans l'univers du studio Ghibli disponible sur la plateforme mais également chaque samedi soir.

Sho débute son récit d'une semaine d'été qu'il a passé dans la maison familiale en compagnie de sa grand-mère Sadako et l'étrange gouvernante, Haru. Lorsqu'il est arrivé dans cette grande et belle demeure, Sho a arrêté le chat Niya qui était parti à la chasse. Le jeune garçon aperçoit un court instant une jeune fille de son âge... mais de quelques centimètres seulement. Il s'agit d'une Chapardeuse. Sho va apprendre que certains membres de sa famille les ont également croisés sans jamais pouvoir entrer en communication... 
借りぐらしのアリエッティ / Arrietty : le petit monde des chapardeurs nous rappelle un autre dessin animé The littles / Les Minipouss (3 saisons / 29 épisodes / 1983 à 1985 / ABC) inspiré d'un roman d'un auteur américain John Peterson (1924-2002) publié en 1967. 
En réalité, les créateurs de cet animé se sont inspirés d'un autre univers mettant en scène des êtres minuscules, The Borrowers / Les Chapardeurs de l'écrivaine britannique Mary Norton (1903-1992) dont le premier roman est sorti en 1952.
Ce film d'animation fait mouche et devient l'un de nos préférés. Y'a pas à dire, ils sont très forts ces japonais pour transmettre toute cette poésie et toutes ces émotions. Une fois encore, les paysages sont merveilleux. Les détails font qu'on a l'impression de voir un film réel. On tombe sous le charme de la décoration naturelle de la maison des Chapardeurs. La musique est comme souvent dans ce genre de film d'animation tout simplement féérique et nous transporte ailleurs. Du fait des tailles différentes entre les personnages, le rendu sonore est exceptionnel également. On sent la respiration de Sho, les battements de son cœur dont il souffre. On aimerait que l'histoire se poursuive mais l'on sait que la relation est impossible entre Sho et Arrietty. Comme lorsque l'on avait vu pour la première fois Les Minipouss sur nos petits écrans, nous attendons de pouvoir observer ces êtres minuscules qui cohabiteraient très discrètement avec nous.

dimanche 14 décembre 2025

Le Père Noël s'est évadé

 


Cette histoire se déroule au soir du Réveillon de Noël 1966. Les plantons de la Prison Départementale écoutent les détenus chanter des cantiques de Noël quand soudain, le Père Noël ouvre la porte du centre de détention et les assomment.

 

Le Père Noël est en réalité un dangereux criminel, Sérinèze. L'alerte est donnée.

 

Si tous les détenus sont arrêtés par la police partie à leur trousse, Sérinèze passe à travers les mailles du filet malgré l'arrestation de très nombreux Père Noël totalement innocents

 

et malgré le fait qu'il soit blessé lors d'un échange de tirs

 

. Car le Père Noël est armé. Ce dernier trouve refuge dans un grenier où il perd connaissance. Le jour de Noël, une fillette, Florence, monte jouer au grenier qui est sa salle de jeux et tombe nez à nez avec le Père Noël endormi...

Diffusée à Noël 1966, cette histoire met en scène la petite Florence jouée par Nathalie Valax qui, malgré son très jeune âge, joue telle une grande ! 

On aime la relation qui s'établit peu à peu entre la fillette et celui qu'elle croit être le Père Noël. L'histoire montre également combien les parents peuvent être parfois sourds à ce que disent leurs enfants car elle ne cessera de clamer que le Père Noël est au grenier sans que personne ne la croit. D'ailleurs, sa Maman jouée par l'inoubliable Laurence Badie (1928-2024),

 préférera prévoir un rendez-vous dans une institution pour soigner les élucubrations de sa fille plutôt que de vérifier ce qu'elle dit. Il faudra patienter la toute fin pour que les parents réalisent que Florence dit la vérité. Ce téléfilm de Noël est assez étonnant pour une histoire de Noël mais avec les autres billets que nous allons prochainement écrire, vous allez vous rendre vite compte qu'il y a des histoires encore plus étranges pour être diffusées à cette période de l'année.

Ce programme était sans doute annoncé dans le Télé 7 Jours numéro 353.

samedi 13 décembre 2025

The war between the Land and the Sea

Comme, à notre grand désespoir, il n'y aura pas d'épisode spécial Noël de la série Doctor Who cette année,  nous propose pour ce Noël 2025, une toute nouvelle série dérivée de celle que nous venons de citer. puisque nous retrouvons des espèces vues dans différents épisodes de Doctor Who, les Silurians et les Sea Devils.
Ils deviennent les héros à part entière de The war between the Land and the Sea sous le nom d'Homo Aqua.
Des pêcheurs espagnols remontent leur filet plein de poissons lorsque soudain, ils entendent des cris horribles. Au milieu des poissons apparait un monstre marin que le Capitaine du navire abat avec son fusil. Quelques heures plus tard, à Londres, des agents d'élite du groupe UNIT (Unified Intelligence Taskforce) sont appelés de toute urgence pour former un commando d'intervention et parmi eux, Barclay Pierre-Dupont qui n'a aucun entraînement puisqu'il est un simple secrétaire chargé de réserver des transports aux personnalités d'UNIT. Le Général Austin Pierce explique aux autres membres du commando que le groupe a toujours admis un civil dans ce genre d'opération pour qu'il puisse être témoin de ces événements qui sortent de l'ordinaire. Arrivés en Espagne, ils découvrent le corps de l'Homo Aqua.

 

Mais son peuple, présent sur notre planète dans les profondeurs des mers, des océans, des fleuves, n'accepte pas ce meurtre. 

 

Tandis que le Général tente de négocier une Paix pour éviter un conflit mondial, les Homo Aqua apparaissent dans toutes les capitales de la planète Terre.

 

Les Terriens et les Homo Aqua parviennent in extremis à un accord pour engager des pourparlers à Londres...

Les deux premiers épisodes sont sensationnels. Chapeau sur les effets spéciaux de grande qualité. Le scénario est à notre goût et le message est on ne peut plus clair sur l'état de notre planète que nous jette violemment à la figure les Homo Aqua mais il n'est pas vain de marteler ce message qui semble être de plus en plus mis de côté. Nous avons hâte d'être à lundi prochain pour connaître la suite. Nous avons même droit à plusieurs références au Doctor.

vendredi 12 décembre 2025

Le cadeau des enfants

 

Le vendredi 24 Décembre 1965, Frédérique Hébrard (1927-2023), grande scénariste à la télévision, nous proposait un conte de Noël dont le programme était visible dans les pages du numéro 300 de Télé 7 Jours.
Ce conte s'intitule Le cadeau des enfants.
Geneviève est une comédienne très talentueuse, qui connait le succès. Son mari est riche et le couple vit très aisément avec leurs deux enfants.

 

A la sortie d'une représentation, une femme lui dit l'avoir vue il y a quelques années jouer avec un comédien dont elle ne se souvient plus du nom. Geneviève elle s'en souvient très bien, il s'agit de Paul. Tandis qu'elle part dans les grands magasins pour voir les jouets, ses enfants vont se faire photographier avec le Père Noël.

 

Il reconnait Geneviève et se présente à elle.

 

C'est Paul. Lui est loin d'avoir réussit mais elle se souvient de l'époque où ils jouaient ensemble et ressent une certaine nostalgie...
Frédérique Hébrard nous a habitué à nettement mieux. Son conte de Noël est extrêmement brouillon et est plus une histoire à l'eau de rose qu'une histoire de Noël. Finalement, elle était précurseur car c'est plutôt le thème de tous les téléfilms de Noël qui inondent nos chaînes de télévision depuis le mois d'Octobre... Notons bien entendu la présence du mari de Frédérique Hébrard, Louis Velle (1926-2023).

jeudi 11 décembre 2025

Le mal aimé

 

Vous le savez, les films publicitaires on aime bien ça surtout lorsqu'ils sont bien fait.
Et là, pour ces fêtes de Noël, l'un d'entre eux sort totalement du lot car c'est véritablement un petit film d'animation qui nous est proposé. 
Ce petit film a même un titre : Le mal aimé.
C'est Frédéric qui l'a vu en premier, qui m'en a parlé. Il a fallu quelques jours avant que je le vois à nouveau.
Nous sommes tous les deux fans de ce court conte de Noël où un loup, pour se faire des amis, décide de se mettre à cuisinier tout un tas de produits, pour ne plus manger les autres animaux de la forêt afin d'être accepté parmi les leurs.
Et c'est à  à qui l'on doit ce merveilleux film publicitaires. Il faut dire que depuis quelques années, l'enseigne de grande distribution multiplie les longues publicités pour les fêtes de Noël avec toujours beaucoup de talent.
Cette année encore, nous sommes comblés et celui-ci, vous allez en entendre parler énormément.
A regarder sans modération avec en prime la chanson de Claude François (1939-1978), Le mail aimé sorti en 1974.